Le 25 juin 2018, le GAIC a fêté ses 25 ans

Après un mot d'accueil des co-présidents, Hélène MILLET et Haydar DEMIRYUREK, un film réalisé par Sulliman BANIAN, journaliste TV, et Medi BARA, caméraman, a été présenté.

Il contient des interviews du Père Michel LELONG et de Mustapha CHERIF, fondateurs du GAIC.

D'autres membres du GAIC ont été également interviewés, retraçant les 25 premières années du GAIC.

> Voici le film :

> Voici en avant-première quelques vues de cette fête (faire défiler les photos en cliquant sur le ">" à la droite de chacune d'elles :

> L'accueil :

> La conférence-débat "Médias, journalisme et éthique de l'information"

Avec

Dominique Fonlupt, journaliste à La Vie
Anne-Bénédicte Hoffner, journaliste à La Croix
Huê Trinh Nguyên, rédactrice en chef de Salamnews

> L'annonce du concert spirituel et artistes chanteurs et musiciens, dont voici le programme donné le 25 juin 2018 à 21h15 la Chapelle Notre-Dame des Anges qui jouxte le Forum 104.

Nous y avons entendu plusieurs artistes dans des registres très différents de la musique religieuse chrétienne et musulmane :

Deux musiciens de l’Ensemble Lalé, Cham’s, joueur de ney (flûte de roseau) et de rebab (vièle à pique), et Sophia Perrin au bendir (percussion). L’Ensemble Lalé perpétue deux traditions, celle de la musique ottomane à la cour des sultans et celle de la voie soufie des derviches tourneurs.
Pierre Videment, pianiste et organiste de l’église SaintAlbert-le-Grand (Paris 14^ème) ; il est aussi choriste dans la formation Vox nocti, qui interprète des œuvres du répertoire occidental aussi bien classiques que modernes.
Membre du Conseil d’Administration du GAIC, Mireille Akouala, pasteure de l’Eglise protestante, met le gospel blues au service de son ministère. Elle chante, accompagnée par l’accordéoniste, Alphonse Nzindou.

Ils ont interprété successivement :

Un prélude et un choral (Je t’appelle, Seigneur Jésus) de Jean-Sébastien Bach (Pierre Videment)
Improvisation au ney dans le mode Ushak (mode des amoureux) et pièce instrumentale anonyme de la cérémonie Ayîn des derviches tourneurs du répertoire Mevlevi’s (Cham’s et Sophia Perrin)
Deux chants d’afro gospel blues : un duo « Dans peu de temps, Jésus va revenir » et un solo, « Deep river) (Mireille Akouala et Alphonse Nzindou)
Le premier mouvement du Requiem allemand de Brahms : Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés (pianiste et choristes de Vox nocti)
Improvisation au rebab et pièce chantée du répertoire de la musique soufie Bektashi, puis Ilahi en Hicaz (Les ilahî sont les hymnes à la louange d’Allah, du Prophète Muhammed et de saints soufis) du répertoire Mevlevi (Cham’s et Sophia Perrin)

A la fin du concert, ce sont les voix du public qui se sont élevées pour chanter le Notre Père et psalmodier la Fatiha.